vendredi 14 octobre 2011

LES PROBLEMATIQUES DU MANAGEMENT DU SYSTÈME D’INFORMATION

Avant de s’interroger sur les différentes options du Cloud Computing, il convient de faire un point sur les principaux objectifs recherchés par les organisations afin de mieux gérer leur système d’information.

A. Optimiser les coûts du système d'information

La prolifération des infrastructures (d’application, de développement, de test, de stockage…) entraîne inévitablement un surcoût qui peut être important. Des infrastructures nombreuses et dispersées entraînent à la fois des coûts de maintenances élevés, mais également  la création de multiples lignes budgétaires qui ne sont parfois même pas identifiables.

Dans ce contexte, il est difficile d’agir sur des coûts lorsque ceux-ci n’apparaissent pas clairement dans un budget, où sont difficiles à évaluer. On constate souvent que les objectifs suivants sont souvent freinés par de nombreux inhibiteurs. Il en ressort les conflits suivants.
Objectif : Réduire les coûts
Cependant, les points suivants vous en empêchent :

 La multiplication directe des infrastructures (serveurs, stockage, réseau…) 
 L’indisponibilité fréquente de certaines ressources (humaines, matérielles…)
 La redondance de certaines applications
 La dispersion physique des ressources
 Les investissements ne sont pas optimisés
 Le ticket d'entrée (investissement nécessaire pour mettre en œuvre/utiliser un SI) est important
 La politique d'investissement interne qui privilégie souvent le CAPEX à l'OPEX

Objectif : Variabiliser les coûts en fonction de l'activité
Les points suivants vous en empêchent :

Les frais fixes de fonctionnement de l’infrastructure informatique sont trop élevés
Mon infrastructure informatique parfois n’est pas bien dimensionnée par rapport à mes besoins


Pour en savoir plus, téléchargez le guide complet ici.

lundi 3 octobre 2011

LE CLOUD COMPUTING : ETAT DES LIEUX


A. Définition et chiffres
L'informatique dans les nuages (« Cloud Computing ») est un nouveau modèle de consommation et de déploiement de l’informatique.


Pour les entreprises utilisatrices (du grand compte multinational à la PME locale), le Cloud Computing peut se définir comme une approche leur permettant de disposer (via des réseaux) des ressources informatiques (applications, puissance de calculs, espaces de stockage, middleware et plateformes applicatives, …) comme autant de « services ».

Ces ressources informatiques seront hébergées dans des centres informatiques fortement évolutifs et peuvent être provisionnées et partagées dynamiquement, permettant des économies d'échelle importantes.

Au niveau de la facturation, l’acquisition d’une licence logicielle (en mode traditionnel opposé au Cloud Computing) a laissé sa place à une consommation à l’unité d’œuvre (nombre d’utilisateur, espace de stockage loué …).

Une interface simplifiée (navigateur Internet) permet aux utilisateurs de sélectionner le service choisi. L'infrastructure supportant les applications devient alors transparente pour les utilisateurs.

Quelques chiffres
· Au niveau mondial
Le cabinet d’études IDC estime que les services Cloud représentaient 5% des investissements TIC mondiaux en 2009, soit 17 milliards de dollars. Le marché total du Cloud va représenter 241 milliards de $ (164 Mds d'euros) en 2020, d’après une étude de Forrester.


· A l’échelle européenne
Selon une étude réalisée pour la Commission Européenne par le cabinet PAC, le marché du Cloud Computing dans l’Europe des 27 atteignait 4 milliards d’euros en 2009. Ce montant représente environ 1,5% du marché total des Logiciels et des Services (L&S). Figurant une large adhésion, le CC pourrait croître fortement jusqu’à représenter à l’horizon 2015 environ 13% du marché total des L&S.



Pour en savoir plus, téléchargez le guide complet ici.