mardi 15 septembre 2015

DSI, concentrez-vous sur l'innovation en confiant l'hébergement de vos applications à un infogéreur cloud


Avant le prochain dîner du Club Cloud DSI (29 septembre), je vous (re)-propose d'écouter 
5 DSI, CTO et éditeurs qui sont intervenus sur les plateaux de #SaaSDiscute.
  • Alexandre Noto de l'éditeur Intuition Software
  • Pierre Fauquenot, dirigeant d'Infortive et DSI de transition, par exemple chez Korian
  • David Ohayon, Chief Digital Officer de John Paul et ancien CTO de Weekendesk
  • François Depoortere, DSI, ou plutôt "Directeur de l'Efficience" chez IRCEM
  • Philippe Boulanger, CTO de Neopost
Ils partagent leur expérience de la tranformation des rôles et responsabilités de chacun en écho aux changements de la chaîne de valeur de l'informatique et de ses usages.
Ils conseillent tous de confier la responsabilité des infrastructures informatiques à des hébergeurs et des infogéreurs Cloud spécialisés.

Retrouvez également dans ces videos les points de vue et les précisions de: 
  • Patrice Lagorsse, co-fondateur et directeur commercial d'Aspaway
  • Frédéric Bascuñana, Dirigeant de Webcastory, animateur de #SaaSDiscute
  • Loic Simon, évangéliste Cloud & #SocialSelling, co-animateur #SaaSDiscute
1. L'Informatique à deux Vitesses !

L'informatique dans les entreprises est désormais clairement à deux vitesses, mais "au sens noble" comme le dit François Depoortere.

En effet, d'un côté il faut gérer le quotidien du business, il faut que "ça tourne".
Et si ça ne tourne pas, inutile d'espérer que la Direction "signera" pour des projets innovants!
D'un autre côté, on veut créer de la valeur au travers de l'IT, qui devient de plus en plus le support de l'innovation.

Ainsi que l'exprime Philippe Boulanger, ça pousse les entreprises à acquérir des Startups innovantes ou, tout du moins, à rechercher l'innovation à l'extérieur de l'entreprise.

Que ce soient ces Startups innovantes, ou ces DSI / CTO qui veulent que "ça tourne" pour se concentrer sur les clients internes et externes et sur la production de valeur, tous sous-traitent désormais les couches basses d'infrastructures (serveurs, réseaux...) à des prestataires spécialisés comme Aspaway.  

2. Sous-traiter pour gérer la Complexité !


Le SaaS et le Cloud ont la vertu d'aider les DSI à standardiser.
Mais le cloud, c'est aussi plein de métiers différents, qui requièrent plein de compétences spécifiques.

Or, face à la complexité grandissante des architectures et des infrastructures IT, les entreprises n'ont pas les moyens d'avoir des spécialistes dans tous les domaines et, comme le dit Pierre Fauquenot, de "garder un bon niveau d'entraînement pour courir le 100m en moins de 10s".

Les éditeurs et les DSI doivent arrêter de se préoccuper des questions techniques, des architectures, des infrastructures...
L'important, c'est que les logiciels fonctionnent, qu'ils soient sauvegardés, restaurés en cas de problème et que la permanence du service soit assurée.
Et ça, c'est un véritable métier, de plus en plus sophistiqué, qu'il faut confier à un spécialiste industriel de la chose.
    3. A chacun son Métier !

    Après Pierre Fauquenot, c'est Alexandre Noto qui exprime l'importance de se focaliser sur son coeur de métier, que ce soit au niveau des fonctionnalités d'une solution SaaS ou d'un service BPaaS (comme par exemple la gestion des recrutements) ou pour l'hébergement de son application.

    "Je ne vois pas une solution SaaS qui serait auto-hébergée".
    "Vous ne vous improvisez pas hébergeur"...
    Ces phrases de bon sens expriment l'évidence pour un éditeur SaaS de recourir à un hébergeur professionnel.
    Celui-ci lui fournira les services d'infogérance Cloud nécessaires à la disponibilité, la performance et la sécurité de ses applications.

    Ce même "Infogéreur de Cloud" va d'ailleurs souvent, comme c'est le cas d'Aspaway, s'appuyer lui-même sur les services d'un "industriel" des datacenters et des infrastructures Cloud (IaaS) tels qu'IBM ou SoftLayer. A chacun son métier !
    4. Différenciation & Externalisation

    Pierre Fauquenot le rappelle à nouveau dans cet extrait  :"Editeurs, DSI, ne vous préoccupez pas de la production, c'est complexe... "
    Et surtout, "ce n'est pas votre coeur de métier, ce n'est pas différenciant !"

    Mieux vaut donc l'externaliser et ne pas jouer aux technologues.
    Ca coûtera moins cher et ça répondra beaucoup mieux aux exigences des clients internes et externes (disponibilité, vitesse, fiabilité...)

    Mais bien sûr, et c'est David Ohayon qui l'exprime ici, qui dit externalisation dit capacité du prestataire à rassurer DSI, utilisateurs, clients et éditeurs.
    D'où la nécessité de bien choisir son partenaire hébergeur/infogéreur... et ça, c'est le sujet d'un autre billet #SaaSDiscute...


    Loic Simon
    06 76 75 40 71
    @loicsim @cluballiances


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